Si vous me suivez sur les réseaux sociaux, vous avez pu voir que, mercredi, j’étais dans les coulisses du tournage « Toutes Belles Toutes Différentes »

Cela fait quelques temps que Dove propose cette expérience à ses fans. L’année dernière, c’était lors d’un défilé qu’on découvrait une vingtaine d’égéries toutes différentes qui, sous la voute du Palais Brognart, ont prouvé à un parterre de journalistes que la beauté n’était pas forcément celle que l’on voit sur papier glacé.

Cette expérience est née d’une étude : 77% des femmes n’aiment pas être prises en photo (moi la première !) parce qu’elles « sont souvent mal à l’aise ou gênées à l’idée de se faire photographier, par qu’elles ne se trouvent pas belles. Plus de la moitié des femmes (55%) n voit que les aspects négatifs face à une photo d’elle-même, se jugeant « peu attirante », « moche » ou « trop grosse ». « 

Cette année, le casting des Vraies Beautés a commencé en mars pour trouver parmi les 5 000 participantes, les 20 égéries (de 25 à 62 ans) qui, lors du tournage du clip, ont pu s’affirmer de plus en plus, lors de cette journée.On peut dire qu’elles ont été chouchoutées pour l’occasion : Fred Farrugia, Kamel Ouali et Philippe Gentner étaient présents pour les coachés, et Hiron leur avait concocté une sélection de style sur-mesure.

Le point d’orgue de cette expérience ? Une chorégraphie devant un parterre de journalistes, de blogueuses et des proches de ces égéries, où bonne humeur, beauté et éclats de joie, sur le rythme d’un titre d’Inna Modja exclusivement composé pour cet évènement, a clôturé cette journée enrichissante.